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1les mauvaises habitudes alimentaires des personnes stressées
Lorsque l’on est stressé, on est souvent fatigué dès le réveil. Les gens stressés ont tendance à choisir surtout des aliments riches en graisse, sucre et sel Être stressé est souvent synonyme d’être pressé. Ne pas prendre de petit déjeuner ou ne pas manger suffisamment à midi, pour finalement se retrouver affamé en fin d’après midi, est quelque chose de fréquent chez les personnes stressées Une personne stressée est plus souvent sujette à des envies de nourriture indépendante de sa faim. Elle mange pour penser à autre chose, pour oublier une contrariété ou encore parce qu’elle n’a rien d’autre à faire 8 verres d’eau par jour,Certaines personnes ne boivent plus d’eau du tout, se contentant des sodas ou du café pour s’hydrater Avec une pause déjeuner parfois raccourcie au minimum, la restauration rapide devient une solution de facilité de plus en plus choisie par les français, et surtout par les personnes stressées. Cependant, ce sont des repas qui sont rarement équilibrés, souvent mauvais pour la santé, et quasiment toujours très chers par rapport à la quantité servie.
http://stress-causes-et-solutions.com/gestion-du-stress/une-bonne-hygiene-de-vie/les-mauvaises-habitudes-alimentaires-des-personnes-stressees
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2les habitudes alimentaires des étudiants
Les étudiants français ont de très mauvaises habitudes alimentaires alors que s'ils en avaient une bonne, ils pourraient avoir une meilleure concentration intellectuelle, de meilleurs performances physiques etc...En général, une mauvaises alimentation peut conduire à l'obésité.
http://www.santenews.eu/2010/03/16/les-mauvaises-habitudes-alimentaires-des-etudiants-francais/
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3L'obésité, les causes et les conséquences
Pour un individu donné, l'IMC est déterminé en divisant le poids en kilogrammes par le carré de la taille en mètres (kg/m2). Il est généralement admis qu'un IMC supérieur à 30 traduit une obésité. les risques: L'obésité s'accompagne de plusieurs risques spécifiques, dont une augmentation de l'incidence de l'hypertension, du diabète non insulinodépendant (qui se déclare à l'âge mûr) et des taux élevés de cholestérol et des autres lipides.Enfin, les obèses ont également un risque plus grand d'avoir certains types de cancer, tels que le cancer du colon ou du sein.
http://www.i-dietetique.com/?action=articles&id=256
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4http://www.smeno.com/etudiants/676_desequilibre-alimentaire.html
Ce texte parle des conséquences à la malbouffe lorsque l'on consomme trop de sel, de sucres et de graises. Mais aussi des 5 conseils pour éviter les dégâts des troubles alimentaires.
http://www.smeno.com/etudiants/676_desequilibre-alimentaire.html
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5Les bienfaits de l'activité physique sur la santé
Ce texte parle de l' Influence de l'activité physique sur l'obésité, l' Influence de l'activité physique sur la santé mentale et l'Influence de l'activité physique sur la "résistance au stress".
http://www.marique.com/thm/APS/bienfaits.htm
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6La malbouffe, Le fast food, la restauration rapide : une mauvaise alimentation
Le paradoxe du fast-food est qu’il a mauvaise image mais connaît un véritable succès. Plus qu’une alimentation, le fast-food est aujourd’hui un style de vie : celui des gens pressés qui ne veulent pas perdre de temps à cuisiner.
http://www.danger-sante.org/fast-food-la-malbouffe/
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7les mauvaises habitudes alimentaires
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:sJik2fpY9EoJ:www.als.uhp-nancy.fr/conferences/2010/Malbouffe.pdf+causes+malbouffe&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=fr&safe=vss
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8Les besoins alimentaires
http://www2.cndp.fr/themadoc/besoins/Matiere.htm
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9Pour une bonne nutrition
http://www.essentielsante.net/ebn.ebn?pid=23&domain=ess&site=8&uid=documentess_1157&rub=218
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10LES BESOINS ALIMENTAIRES AU QUOTIDIEN
http://tdupont.web.cern.ch/tdupont/ration_alim.html
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11une maivais alimentation
http://lacurieusehistoiredumonde.centerblog.net/6000286-La-malbouffe--Le-fast-food--la-restauration-rapide-une-mauvaise-alimentation
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12les dangers de la malbouffe
http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-les-dangers-de-la-malbouffe-1000.asp
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13Le PNNS politique nutritionnelle
La mise en place d’une politique nutritionnelle est apparue, au cours des dernières années, comme une priorité de santé publique. L’amélioration de l’état nutritionnel de la population constitue, en ce début de 21è siècle, un enjeu majeur pour les politiques de santé publique menées en France
http://www.mangerbouger.fr/pnns/le-pnns-c-est-quoi.html
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14De nouvelles mesures pour lutter contre l'obésité
Dans le cadre du Plan national nutrition santé 2006-2010, Roselyne Bachelot a présenté le 4 février trois nouvelles mesures en matière de nutrition et de lutte contre l’obésité
http://www.gouvernement.fr/gouvernement/de-nouvelles-mesures-pour-lutter-contre-l-obesite
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15"bouffer de la merde" n’est plus une métaphore mais la triste réalité
http://www.naturavox.fr/alimentation/article/enquete-sur-la-mal-bouffe-et-la
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16résumé
La malnutrition est l'état nutritionnel qui s'écarte de la normale et qui est la conséquence d'une alimentation mal équilibrée en quantité et ou en qualité
Si l'apport nutritionnel est trop élevé par rapport aux besoins, l'organisme stocke des réserves graisseuses en excès ce qui à la longue entraine l'obesité, et divers troubles par surcharges.
Les conséquences d'une alimentation hyperlipidique (riches en graisse) surtout de lipides en acides gras saturés augmente : le risque de maladies cardiovasculaires et le nombre d'accidents à l'athérosclérose, le taux de cholestérol sanguin, le risque d'obésité...
La consommation excessive d'aliments riches en sucres simples( pâtisserie, boisson sucrées, chocolat...) provoque des risques d'obesité: les glucides consommés au delà des besoins sont stockés sous forme de graisse : des risques de caries dentaires, diabète de type 2, des risques de maladies cardiovasculaires, l'excès de sucre est responsable de la présence de triglycérides élevés dans le sang
L'absorption de produits sucrés entraîne une sécretion importante d'insuline ( hormone qui fait baisser le taux de sucre du sang et qui entraine une dépendance aux sucres.
La malbouffe est une mauvaise habitude alimentaire par une alimentation rapide, riche en graisse, composé de beaucoup de sucre rapide et de sédentarisation ; par exemple: tu ne mange bois que du sodaet des jus et tu craques sur un double chesse bacon, les pains blancs comme hot dog, hamberguers, les fritures, les chips, pizza poulets et poissons panés les viandes grasses (saucisse, kebab, les gâteaux, les glaces et les bonbons).
Ces aliments apportent une sensation de satiété éphémère on a faim peu de temps après et l'on prend l'habitude de grignoter tout au long de la journée. Riche en sel, en graisse, en sucre, et pauvre en vitamine, en fibre et minéraux, ils n'ont donc pratiquement aucun intérêt nutritionnel. Résultat : un stockage de graisse au niveau des tissus et des artères, leur forte teneur en sucre génère des pics d'insuline et dse coups de pompe.
La malbouffe entraîne du surpoids, voire de l'obésité, le diabète, l'ostéoporose et les maladies cardiovasculaires et augmente les risques de cancer.
il y aurait en France environ 6,5 millions d’adultes obèses,dont environ 3 millions de nouveaux obèses depuis 12 ans.
LES PRINCIPALES CAUSESDE L’EPIDEMIE D’OBESITE➢ Excès des apports caloriques➢ Niveau élevé de sédentarité(durée)➢ Bas niveau de l’activité physiquedans la vie quotidienne( selon l'IOTF)
EVOLUTION DE LA CONSOMMATIONALIMENTAIRE DES FRANÇAIS(1990-1997 INSEE)•Pain et autres produits céréaliers•fruits• Viandes : sauf bœuf•aliments sucrés (sauf sucre) : confiserie de sucre, confiserie de chocolat, biscuits•fromages , crèmes•Boissons sucrées
CAUSES de la MALBOUFFE Industrialisation facteurs socio-économiques MODERNITE ALIMENTAIRE
Manger mal n’est toujours pas un choix ; cela dépend en partie de votre situation sociale. Les « nouveaux pauvres » étant de plus en plus nombreux en France, ils sont tous aussi nombreux à s’exposer aux risques d’obésité, de cancers, de maladies cardio-vasculaires... Sociologie de la malbouffe avec Guy Paillotin.Le terme de malbouffe apparaît en 1980.
Symbolisée par les fast foods dans un premier temps, avec leur alimentation trop grasse, trop sucrée, la définition de la malbouffe s'est étendue à une critique plus globale dénonçant aussi le modèle productiviste et la société de consommation.
En France, depuis les années 1950, le prix des fruits et légumes frais a augmenté beaucoup plus vite que l'indice général des prix, et
le prix des corps gras beaucoup moins vite.
Nous nous retrouvons aujourd'hui dans un environnement où les calories « grasses » et « sucrées » n’ont jamais été aussi peu chères, et par conséquent aussi omniprésentes. Les conséquences en termes de santé publique sont inquiétantes, en particulier dans le domaine de la prise de poids, qui devient une nouvelle source d'inégalités sociales. (Un Français consommait 1 kg de glace par an en 1960... et 14 kg en 1995!)
L'étude réalisée par France Cavaillet montre qu'il n'est pas facile de bien s'alimenter à un faible coût.
Les ménages défavorisés consacrent une part plus importante de leur budget à l'alimentation (22% pour les ménages en dessous du seuil de pauvreté contre 18% en moyenne) (4 € par personne et par jour contre 6,3 € pour la population totale).
Le coût minimum strictement nécessaire pour respecter l'ensemble des apports nutritionnels conseillés pour la population française a été estimé par la technique d'optimisation de rations par programmation linéaire, à 3,2 € par jour et par adulte. Or, les personnes en situation de précarité, et notamment celles qui font appel à l'aide alimentaire pour se nourrir, consacrent en moyenne 2,5 €/j à leur alimentation.
Conséquences :
Être précaire signifie avoir trois fois plus de risque d’être obèse, s'exposer à des maladies cardiovasculaires, aux diabètes, à des cancers et au cholestérol (1/5 Français aurait plus de 2 ,5 g / litre de cholestérol dans le sang).
Les outils d'intervention se situent à un double niveau : nutritionnel (normes de fabrication, information et éducation, contrôle des messages publicitaires…) et économique (prix, revenu, normes d'étiquetage…). En voici quelques exemples :
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Baisser la TVA sur le prix des fruits et légumes pour un accès aux plus défavorisés Renforcer la qualité(...)( guy paillotin)
Une bonne alimentation obéit à plusieurs principes qui sont la diversité, l’équilibre, la qualité et la quantité. En d’autres termes, l’alimentation doit fournir l’énergie suffisante permettant à l’organisme de fonctionner, sans manque responsable d’un amaigrissement, de fatigue et de coups de barre intempestifs, et sans excès, synonyme de surcharge pondérale voire d’obésité.Pour bien se nourrir, il faut tenir compte également de l’âge, du sexe et de l’activité journalière.
Schématiquement :
Il faut faire trois repas par jour sans jamais en sauter aucun :
Le petit déjeuner est capital. Il comprend 20 à 25 % de l’ensemble des calories journalières. C'est lui qui donne l'énergie nécessaire pour effectuer le travail matinal.
Le petit déjeuner, meilleur moment de la journée
Le déjeuner et surtout le dîner doivent être légers afin d'éviter respectivement une somnolence et une insomnie en seconde partie de nuit.
Une collation (pomme, yaourt…) est recommandée vers 16 h et en milieu de matinée lorsque le petit déjeuner est pris très tôt le matin.
Il faut consommer chaque jour des fruits, des légumes verts, un laitage ou un fromage et du poisson, et cuisiner plutôt à l'huile d'olive ou à l'étouffée. Il vaut mieux éviter de manger de la viande rouge chaque jour. On peut lui préférer avantageusement la viande blanche.
Les glucides doivent représenter 50 à 55 % des calories totales quotidiennes, les protides 12 à 15 % et les lipides moins de 30 %.
> Ce qu’il faut retenir
Légumes à tous les repas
Un produit laitier à chaque repas
Poisson ou volaille tous les jours
Viande rouge de temps en temps
De l’eau à volonté
Attention aux boissons riches en sucre comme les sodas, aux graisses cachées dans les sauces et à l’alcool qui ne devrait pas dépasser 25 % des calories totales de la journée. Mieux vaut privilégier l’eau.
Il faut éviter le grignotage à jeun, surtout quand il s'agit de sucreries car elles sont stockées immédiatement sous forme de graisses.
La malbouffe, c'est fashion
C'est aujourd'hui la star du septième art. Entre Supersize Me et Fast Food Nation, la restauration rapide est sévèrement critiquée par le grand écran. Mais si José Bové fait des émules, les accros de Mc Do restent légion. La raison : des pauses déjeuner trop courtes entre deux cours. Qui plus est, inutile de compter sur les selfs pour dépanner : comme s'époumone à le rappeler Cyril Lignac dans Vive la cantine, les menus y sont dégueus et en plus c'est coûteux !
La malbouffe n'aime pas les légumes
A moins d'être un lapin (et encore !), les salsifis, céleris et carottes n'ont rien de glamour pour un estomac affamé. Les frites, par contre, restent l'aliment le plus sexy des Français. Côté desserts idem : à une pomme ou une poire bien mûre, on préférera les bons becs ou les miettes de gâteaux qui traînent sous le canapé. Un constat contraire aux bonnes normes nutritionnelles puisqu'il nous est recommandé de consommer 10 fruits et légumes frais minimum par jour.
La malbouffe annonce le surpoids
La visite régulière des fast-foods et le grignotage entre les repas n'est pas sans conséquences. Un ado sur 10 souffre ainsi à l'heure actuelle d'obésité. C'est 3 à 4 fois plus qu'il y a 30 ans ! Pas étonnant avec des régimes à base d'huile, overdosés en sel et en sucre mais qui boudent les protéines (on fait pas mal la tête aux poissons entre autres). Un déséquilibre alimentaire qui nous rend également plus fatigués.
Un verre sans bulles SVP
Colas, limonades et eaux gazeuses tambourinent non seulement à plein gaz nos estomac mais peuvent également entraîner des risques de fractures. Les boissons pétillantes, riches en acide phosphorique, réduisent en effet la masse osseuse, particulièrement chez les jeunes qui ne pratiquent pas ou peu d'activités sportives. Et si on remplaçait les bulles par un jus de fruits ou de l'eau tout simplement ?
Prendre le temps de manger
Surtout au petit déjeuner ! Un jus d'orange, des toasts, des céréales, un fruit et un verre de lait consommés chaque matin garantissent une journée tonique, quitte à s'accommoder de déjeuners et dîners plus légers. A bannir aussi les sucreries, chips et autres surplus grignotés entre les repas ! Marcher une demi-heure (sur 24h, c'est pas la torture !) pour éliminer et éviter de zapper de Star Academy à Prison Break en mangeant : vider son assiette n'est pas une corvée, il faut apprendre à l'apprécier...
En effet, de nos jours, 43% de la population française est en
surpoids et 10% est obèse1
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